D'importantes études scientifiques ont été menées sur les conséquences du port d'un masque facial et les risques que cela comporte pour votre santé et celle de vos proches. Cet article du Dr Russel Blaylock, expert renommé en matière de santé, explique certains de ces risques associés au port du masque. Le Dr Blaylock est un neurochirurgien certifié, un praticien de la santé, auteur et conférencier reconnu au niveau national aux États-Unis.
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RÉFÉRENCES SCIENTIFIQUES À LA FIN DE CET ARTICLE
La réduction de la teneur en oxygène
et l’accumulation de dioxyde de carbone
Le port d'un masque facial entraîne une baisse du taux d'oxygène dans le sang, laquelle peut conduire à une hypoxie. L'hypoxie est un état dans lequel les tissus de l'ensemble du corps ou d'une certaine partie du corps ne sont plus suffisamment alimentés en oxygène.
En outre, un masque facial favorise l'accumulation de dioxyde de carbone (CO2), c'est-à-dire l'hypercapnie. L'hypercapnie est un état dans lequel il y a un excès de dioxyde de carbone dans le sang. Elle résulte souvent d'une hypoventilation ou d'une perturbation de la respiration, où insuffisamment d'oxygène pénètre dans les poumons et pas assez de dioxyde de carbone n’est émis. D'autres causes sont également connues pour l'hypercapnie, notamment certaines maladies pulmonaires. Des symptômes légers à graves comprennent : la désorientation, la confusion et la fatigue.
L'hypercapnie et l'hypoxie ont toutes deux divers effets néfastes sur la santé et peuvent même entraîner de potentiellement mortelles complications.
Nous avons dressé ci-dessous une liste de ces effets et des études qui le démontrent. Une remarque préliminaire importante est que de nombreuses études portent sur des masques chirurgicaux. Néanmoins, il est plausible que les effets, dans une mesure égale ou moindre, soient également liés aux masques faciaux que vous pourriez être amené à porter, d’autant que dans de nombreux pays ce sont précisément ces masques FFP2 qui ont été recommandés et portés par la population.
1. Les masques faciaux provoquent des maux de tête
Une étude a été menée auprès de professionnels de santé qui, travaillant dans des zones à haut risque à Singapour, devaient à porter un équipement de protection individuelle, dont un masque facial N95 (équivalent du FFP2 européen) lorsqu'ils s'occupaient de patients. La plupart de ces professionnels de santé a développé des maux de tête ou a connu une exacerbation de ces symptômes tels que leurs maux de tête préexistants en lien avec le port du masque facial. [1]
2. Les masques faciaux peuvent provoquer des pertes de conscience
L'hypoxie se produit très souvent au cours de séjour en haute altitude et de ce fait on l'appelle le mal des montagnes. Dans l'aviation, l'hypoxie est également un terme répandu car elle survient presque immédiatement en cas de dépressurisation de la cabine en haute altitude. [2]
Les conséquences connues et prouvées d’un léger mal d'altitude sont les maux de tête, les nausées, les vomissements, les vertiges et l'essoufflement. Mais, le mal-être léger lié à l’altitude peut évoluer vers un mal-être beaucoup plus grave : les maux de tête et l'essoufflement s'aggravent et se manifestent même au repos, en particulier la nuit. Vous vous sentez de plus en plus morose et pouvez finir par perdre connaissance.
3. Les masques faciaux provoquent des problèmes respiratoires en raison de la plus grande résistance appliquées aux voies respiratoires
Une étude menée en double aveugle à l'hôpital universitaire national de Singapour a comparé les effets du port d'un masque chirurgical pendant une longue période. Conclusion : il se produit une augmentation de la résistance nasale après trois heures de port d'un masque chirurgical, probablement due à des changements nasaux physiologiques plutôt qu'à la taille des voies respiratoires nasales. La résistance nasale n'a été rétablie, après le retrait du masque facial, qu’après une heure et demie. [3]
4. Les masques faciaux provoquent l'artériosclérose et ils augmentent le risque d'infarctus et d'accident vasculaire cérébral
L'hypoxie chronique périodique provoque l'athérosclérose ou maladie artérielle. [4] La maladie artérielle - également appelée artériosclérose - est un processus pathologique insidieux d'accumulation de graisses dans la paroi interne des artères. La paroi des vaisseaux s'épaississant, les artères se rétrécissent lentement et la circulation est entravée. Les tissus situés en aval reçoivent donc moins de sang oxygéné. Le danger à court terme est que la paroi affaiblie de l'artère se déchire, entraînant la formation de caillots dans le sang qui peuvent complètement boucher l’artère.
Les conséquences d'une maladie artérielle peuvent être graves. Les douleurs thoraciques vont limiter le champ d'action d'une personne pour le reste de sa vie. Après une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral, la vie n’est plus jamais la même, malgré l’impressionnante technologie médicale. [5]
5. Le port du masque détériore la fonction pulmonaire et réduit l'immunité
Cette étude a été menée auprès de chirurgiens afin d'évaluer si la saturation en oxygène de l'hémoglobine de celui-ci était ou non affectée par le port du masque chirurgical à l’occasion de lourdes interventions chirurgicales. L'oxygénation du sang (l’apport d'oxygène afin que les tissus puissent remplir leur fonction) a été mesurée avant et à l’issue des opérations : les chercheurs ont constaté que le masque réduisait de manière significative la saturation en oxygène du sang. Plus longtemps le masque est porté, au plus le niveau d’oxygène dans le sang s’effondre. [6]
L'importance de ces résultats réside dans le fait qu'une diminution de la teneur en oxygène (hypoxie) est associée à une baisse de l'immunité. D’autres études ont montré que l'hypoxie peut inhiber le groupe des principales cellules immunitaires, utilisées par l'organisme pour lutter contre les infections virales. [7]
6. Le port du masque favorise le développement de tumeurs
Ce phénomène - décrit ci-dessus - est particulièrement dangereux pour les personnes atteintes d'un cancer, notamment avec des métastases. Car l'hypoxie semble favoriser l'inflammation et augmenter l'invasion et la migration des cellules souches de Glioblastome (une sous-population spécifique maligne de cellules tumorales). Le Glioblastome est la tumeur primitive du cerveau et du système nerveux la plus agressive et la plus difficile à traiter en raison de la barrière hémato-encéphalique du cerveau (laquelle peut être endommagée par la pénétration des goupillons des tests PCR). Et les cellules souches de Glioblastome étant des tumeurs à croissance rapide, elles dépassent rapidement leur capacité d'approvisionnement en sang, ce qui entraîne une insuffisance du flux sanguin dans la tumeur et donc fréquemment une nécrose (stade final de la mort cellulaire).
L'hypoxie au sein de la tumeur primaire est l'un des facteurs de causalité associés au développement des métastases. Une réponse hypoxique accrue dans les cellules tumorales est le signe d’un stade tumoral élevé avec en conséquence un mauvais pronostic pour divers types de cancer. Elle a aussi récemment été associée à la formation de niches pré-métastatiques dans le cancer du sein. [8] [9] [10]
7. L'amplification d'infections virales entraîne des lésions du système nerveux central
Lorsqu'une personne est infectée par un virus respiratoire, une partie du virus est expulsée à chaque respiration. Si une personne porte un masque, en particulier un masque N95 (équivalent américain du masque FFP2 européen) ou un autre masque moulant, les virus sont constamment réinhalés, ce qui augmente la concentration du virus dans les poumons et les voies nasales.
Les Infections au corona virus peuvent affecter le système nerveux. On pense actuellement que les coronavirus, associés aux mécanismes immunitaires de l'hôte, peuvent transformer ces infections en infections persistantes, susceptibles d'entraîner des troubles neurologiques.
Nous savons que les personnes ayant eu les pires réactions au coronavirus sont celles qui ont reçu, très tôt, les concentrations les plus élevées du virus. Et que dans certains cas, cela a entraîné une tempête mortelle de cytokines. [11] [12] [13] [14]
8. L'augmentation de la concentration du virus dans les voies nasales et les poumons peut entraîner des lésions cérébrales, un dysfonctionnement circulatoire et un dérèglement des fonctions pulmonaires, rénales et cardiaques
Le port d'un masque empêche donc les virus exhalés de se concentrer dans les voies nasales pour s’en échapper, ils pénètrent alors les nerfs olfactifs et peuvent atteindre le cerveau. [15]
Il apparait que le dysfonctionnement généralisé de l'homéostasie, causé par les lésions des poumons, des reins, du cœur et de la circulation, se soit avéré fatal pour les patients atteints de COVID-19.
L'homéostasie est le processus par lequel les organismes équilibrent l'environnement interne des processus chimiques et physiques malgré les changements de l'environnement dans lequel ils se trouvent. L'homéostasie permet ainsi à un organisme d'adapter la fonction de chaque organe individuel, répondant à l’ensemble des besoins du corps.
Ceci étant dit, une atteinte cérébrale dominante susceptible de provoquer un œdème cérébral (gonflement du cerveau) dans le cas de COVID-19, peut jouer un rôle prépondérant dans la survenue de la mort bien avant qu'un dérèglement homéostasique systémique ne se produise.
L'effet protecteur des masques faciaux n'a pas été démontré
Il n'y a pas suffisamment de preuves que le port d'un masque facial, quel qu'il soit, puisse avoir un impact significatif sur la prévention de la propagation de ce virus. [16] [17] Sachant de surcroit que le virus est inoffensif pour 98 % de la population et que les chances de survie sont également élevées y compris dans les groupes à risque, nous devons, en tant que société et en tant que personne, nous demander si nous voulons nous exposer les uns les autres aux risques sanitaires détaillés ici, qui plus est au nom d'une fausse sécurité.
En conséquence, avant que vous ou l’un de vos proches ne portiez de masque, nous vous recommandons d’effectuer des recherches par vous-même sur les risques qu’ils représentent pour votre santé.
Dr. Russell Blaylock
Dr. Russell Blaylock, auteur de la lettre d'information The Blaylock Wellness Report est un neurochirurgien certifié, un praticien de la santé, un auteur et un conférencier reconnu au niveau national aux États Unis. Il a étudié à l'école de médecine de l’Université d'État de Louisiane et a effectué son internat et sa résidence en neurologie à l'Université médicale de Caroline du Sud. Durant 26 ans, il a pratiqué la neurochirurgie en plus d'une pratique en médecine nutritionnelle. Il s'est récemment retiré de ses fonctions neurochirurgicales pour se consacrer entièrement à la recherche nutritionnelle. Le Dr Blaylock est l'auteur de quatre livres, Excitotoxins : The Taste That Kills (Excitotoxines : le goût qui tue), Health and Nutrition Secrets That Can Save Your Life (Secrets de santé et de nutrition qui peuvent vous sauver la vie), Natural Strategies for Cancer Patients (Stratégies naturelles pour les patients atteints de cancer), et son ouvrage le plus récent est Cellular and Molecular Biology of Autism Spectrum Disorders (Biologie cellulaire et moléculaire des troubles du spectre autistique).